Vous arrive-t-il certains jours d’être déçue par votre vie ? Avez-vous l’impression que celle-ci n’a jamais vraiment commencé, pour vous ? Vous pensez que vos rêves sont loin et que vous n’avez pas réussi à transformer l’essai ? Ne vous résignez pas pour autant. Rien n’est jamais perdu. Je sais que cela a l’air de phrases toutes faites, mais j’ai peut-être une solution pour vous.
En effet, dans ce nouvel épisode du podcast « Le bonheur me va si bien » , je reçois Amandine Issaverdens, venue discuter des bienfaits de la résilience. Cette sophro-analyste est spécialisée dans le traitement des traumatismes. La sophro-analyse se focalise sur la verbalisation de son histoire par le sophronisé – celui qui vient consulter. Le patient est alors dans un état légèrement modifié de conscience, semblable à de l’hypnose. Amandine est également thérapeute en mouvements oculaires. L’EMDR est une technique de désensibilisation et de retraitement de l’information qui agit sur les souvenirs douloureux. Elle permet de désactiver la charge émotionnelle, sensorielle et psychologique liée à la souffrance.
En lisant ces lignes, vous découvrirez le processus par lequel passe toute personne qui souhaite atteindre le graal de la résilience. Amandine débroussaille pour vous le chemin tortueux qui vous permettra de transformer cette expérience en force. Comme dans chacun de mes podcasts, je vous fais découvrir une nouvelle approche en développement personnel, dans l’espoir de vous aider à progresser. Seule, on avance lentement. Accompagnée, on avance sûrement. J’ajoute des cordes à votre arc de vie, si je peux dire. Alors, prête à découvrir ce que peut apporter la force de la résilience dans votre vie ?
D’abord, conscientiser son histoire
Chacune, chacun est différent avec des histoires différentes, un parcours de vie différent et plus ou moins de difficultés pour les uns ou de traumas pour les autres. Aucune recette magique ne peut s’adapter à tout le monde. Néanmoins, il y a certains points clés pour atteindre la force de la résilience, c’est-à-dire cette idée de transcender ses souffrances pour en tirer des bénéfices.
Le pouvoir libérateur de la parole
La première chose que le thérapeute offre, c’est l’écoute. Du coup, la parole est libérée de la personne qui vient en consultation. Parfois, le seul fait de parler permet de s’affranchir. La verbalisation peut également fédérer. Vous connaissez probablement les groupes de parole consacrés aux dépendances, aux addictions, aux traumas. Il y a beaucoup de gens qui, ayant vécu la même problématique, se rassemblent. Ils échangent entre eux. Cela libère énormément de se fédérer autour d’une idée, de pouvoir échanger à ce propos. Cela permet de conscientiser son histoire.
« On peut utiliser toutes les techniques du monde, peu importe, je pense que le premier outil du thérapeute, c’est cette libération de la parole. »
La sophrologie est une technique que tout le monde connaît plus ou moins. Vous pouvez relire l’article qui y est consacré si vous avez besoin de quelques précisions. La sophro-analyse permet de travailler sur soi plus en profondeur, aidé par des techniques de relaxation. Avant de vouloir guérir votre souffrance, il est important de la conscientiser, c’est-à-dire de comprendre ce que vous avez vécu. Il est essentiel d’en parler, mais aussi de vous entendre parler de votre propre histoire. Le thérapeute agit comme un miroir, comme un écho et vous vous entendez parler. Vous évacuez ainsi vos souvenirs douloureux.
Le pouvoir thérapeutique de l’écriture
Le pouvoir de l’écriture est différent. Amandine explique que son processus d’écriture, lors de l’élaboration de son livre – « Résilience, guide d’exploration de conscience » – a été libérateur. C’est très thérapeutique d’écrire. Elle avoue que cela a été encore différent de parler de son livre, de le raconter. C’est une autre étape de verbaliser ce qu’elle évoque au fil des pages, de s’entendre parler à nouveau de son histoire, de l’offrir au monde.
Prendre conscience de ce vécu douloureux
Cette étape est centrée sur la libération de la parole. L’idéal est déjà de jeter un regard sur l’histoire que vous avez vécu, depuis l’endroit où vous vous trouvez. Osez regarder en arrière malgré des aprioris négatifs et/ou des pensées limitantes :
- la peur de ressentir trop de douleur,
- l’angoisse de réactiver le mécanisme des pensées lancinantes,
- et puis le passé, c’est le passé,
- etc.
Sauf que vous oubliez alors que ce passé vous a construit, qu’il a fait de vous ce que vous êtes maintenant, qu’il vous a mené là où vous êtes aujourd’hui. Ce passé douloureux a emporté avec lui plein de petits bagages que vous promenez dans votre quotidien. Il est encombrant. Pour transformer cette expérience en force, vous devez être consciente des faiblesses, des difficultés, de la souffrance et des traumas que vous avez traversé. Ce n’est pas en les ignorant, que vous allez les optimiser. Si vous laissez ces facteurs perpétuellement de côté, ils vont continuer à vous suivre. Si vous ne les conscientisez pas, vous ne pourrez pas les transmuter vers la force de la résilience. Prendre conscience de votre passé étouffant, c’est regarder ce qu’il s’est produit dans votre vie. Bien sûr, ce n’est pas confortable. Vous allez vous interroger et revoir tous vos souvenirs.
- Quels parents aviez-vous à cet âge-là ?
- Qui étiez-vous à 5 ans, 10 ans, 15 ans ?
- Quelle adolescente étiez-vous ?
- Comment êtes-vous à l’âge adulte ?
- Quels traumatismes avez-vous traversés ?
- Quelles sont vos relations aux autres ?
- Quelle est votre relation à vous-même ?
- Etc.
« Si vous ne savez pas d’où vous partez, vous ne saurez pas où vous voulez aller. »
Le processus qui mène à soi
Tout votre parcours de vie est vécu à travers le regard de l’autre, puisque votre vie commence par le regard de vos parents. C’est ainsi que vous vous construisez, que vous devenez indépendante. En tout cas, que vous essayez, malgré le poids de la société, du groupe, de soi.
- L’individu se construit à travers le regard du parent qui lui donne confiance. Donc, s’il y a déjà des failles à ce niveau-là, cela peut être compliqué.
- Il quitte ensuite le regard du parent pour aller vers quelque chose de plus personnel. Pour cela, il va s’attacher au groupe qui lui correspond – adapté à ses rêves, ses idéaux, ses ambitions, ses envies, ses besoins. Il se réfère aux autres. L’adolescence est la période la plus dure. C’est très difficile de revenir sur ces années pour ceux qui l’ont traversé de façon compliquée. Ce regard sur soi est tellement dur et plein d’injonctions. C’est souvent douloureux.
- Plus tard dans la vie, arrive le processus d’individuation de Jung. C’est la fameuse crise de la quarantaine. C’est une étape qui ramène à soi. La vie a évolué à travers le regard des parents, puis à travers le regard des autres, du groupe, de la société. À ce stade se posent les questions de savoir : « Qui suis-je moi, dans tout ça ? Qu’est-ce que j’ai fait pour moi ? » . Les masques et les étiquettes tombent. Dépouillé de tout ça, qui reste-t-il ? Pour ceux qui n’ont pas cheminé avant, cette prise de conscience peut être très violente. Ils ont l’impression d’avoir consacré leur vie aux autres, mais de ne pas avoir donné de sens à la leur. C’est vrai qu’il est plus facile de s’occuper des autres que de soi-même. Le burn-out repose sur la même idée. Ces personnes avaient la tête dans le guidon pendant des années, et se sont totalement mises de côté.
« Je ne sais pas si on finit par vraiment se connaître un jour, puisque notre connaissance évolue en fonction de nos expériences. »
Et c’est là que vous avez vraiment besoin de conscientiser votre histoire. Ainsi, vous allez transformer cette expérience en force et la connaissance de soi en est la base. Plus vous avancez en âge, plus vous vivez d’expériences et plus vous apprenez de choses sur vous-même. C’est essentiel de vous replonger au début de votre vie. En décortiquant le départ, vous devenez plus neutre vis-à-vis des événements. Ainsi, vous avancez sur le chemin plus facilement. Si le passé est conscientisé, il est plus léger à vivre. Du coup, cela vous permet d’explorer le monde de façon plus détachée. Vous portez un regard différent sur vous et sur l’extérieur.
Ensuite, l’acceptation de son histoire
Après l’étape de la conscientisation de votre histoire, encore faut-il l’accepter. Car il est tout à fait possible de la comprendre, mais de rester dans le déni. L’acceptation de cette souffrance est essentielle pour pouvoir la transformer. Il faut endosser ces blessures qui vivent en vous, pour pouvoir mieux les transmuter. Mais comment accepter ces manques – d’amour, d’abandon, etc. – que vous avez vécu ? L’acceptation est la phase la plus complexe du processus pour atteindre la force de la résilience. Il y a des souvenirs douloureux que vous allez pouvoir réparer grâce à la thérapie, la sophro-analyse, l’EMDR, etc. Et d’autres pas.
Tous les chemins mènent à soi
En échangeant sur les raisons qui ont fait qu’Amandine a écrit ce livre sur la force de la résilience, elle est arrivée à la conclusion que toutes les expériences dans une vie sont à vivre. Il n’y en a pas de bonne ou de mauvaise expérience. Il y a juste des expériences. Et chacun de ces moments mène à soi. Alors ne vous inquiétez pas de savoir comment trouver le chemin de la résilience. Quoi que vous viviez, tous les chemins mènent à vous. Ils vous permettent :
- de vous découvrir,
- d’apprendre,
- d’expérimenter des émotions,
- de trouver des solutions quand cela devient trop compliqué ou que la souffrance est trop présente.
« J’aime cette idée de se dire que tout ce qu’on vit, on ne le vit pas pour rien. »
Peu importe où vos pas vous mènent parfois, vous avez l’impression de vous perdre et effectivement, c’est le cas. Vous ferez peut-être des tours et des détours. Vous aurez peut-être l’impression de retomber dans vos travers, de repartir dans des problématiques que vous pensiez régler. Or, tous ces sentiers vous mènent vers la force de la résilience. Il n’y a pas un seul chemin à proprement parler. Il y a les chemins que vous empruntez, peu importe où vous allez. L’important est ce que vous devenez en les parcourant. Votre seule quête est d’être vous.
« Pour moi, chaque expérience que l’on vit, mène à soi, et tous les chemins mènent à soi. »
Agir, c’est choisir de décider pour soi
Parfois, dans la vie, vous ne savez pas quel chemin prendre. Vous avez peur de décider, car choisir, c’est peut-être faire une erreur. C’est en tout cas vous fermer des portes, même temporairement. Alors, vous ne savez pas quoi faire. Vous hésitez. Mais choisir est plus captivant que ne rien faire et ce n’est pas irrémédiable. Faîtes, ici et maintenant, vous verrez où cela vous mène. Dans le pire des cas, vous repasserez par là dans six mois, dans un an, et vous prendrez une autre option. Vous ne vous en rendez pas forcément compte, mais l’être humain est plein de ressources. Regardez un peu en arrière, tout le chemin que vous avez parcouru. Réalisez les changements et félicitez-vous au lieu de ne remarquer que ce qui est difficile pour vous. C’est important de vous le rappeler. Acceptez même ces allers-retours, ces impressions de retomber. Surtout que vous ne reculez pas vraiment puisque vous avez avancé entre-temps. Vous êtes ailleurs, simplement sur un autre sentier, dans un espace que vous n’aviez encore jamais exploré.
Accepter d’en faire le deuil
Concernant les manques, c’est dur à entendre, mais vous devez en faire le deuil. Il y a des éléments sur lesquels il est possible de travailler, et d’autres sur lesquels personne ne pourra rien. Cela fait partie de votre travail d’acceptation de faire le deuil de tous ces manques :
- le deuil du parent parfait que vous auriez aimé avoir,
- celui de vos relations perdues,
- de ce regard dépréciateur sur vous,
- etc.
Accepter d’avoir eu les parents que vous avez eu et non des parents parfaits peut être douloureux. Certaines personnes ne veulent même pas s’interroger dessus. C’est un espace protégé, il ne faut pas toucher à cette relation par loyauté familiale. Mais le thérapeute entend qu’ils ont accepté ce fait pour eux.
En s’appuyant sur un travail de visualisation, il est possible de combler certains manques, mais d’autres ne cicatrisent jamais. Il y a vraiment cette idée de deuil dans les blessures, qui peuvent être profondes et remontées loin. Puis progressivement, vous allez prendre conscience de ces manques et les accepter. Admettre ainsi certains éléments de votre vie va peut-être permettre de conscientiser d’autres souffrances. Les choses vont se décanter petit à petit et vous permettre d’avancer. Il y a trois zones : la zone de confort, la zone d’apprentissage et la zone de danger. Il est inutile de s’attaquer à cette dernière trop vite, car vous n’avancerez pas. Il faut agir progressivement, sinon le processus de deuil peut être vécu de façon violente.
Enfin, la force de la résilience
Il est difficile de cloisonner la force de la résilience à la seule idée de rebondir et de transformer cette expérience. Il y a tout un chemin à explorer avant d’y arriver, et autant de champs des possibles que de personnes. Or, une expérience n’est ni positive ni négative du moment que vous en retirez quelque chose. C’est juste une expérience. L’essentiel est de savoir comment faire pour en tirer parti et aller encore plus loin.
« Qu’est-ce que je fais de cette histoire maintenant ? Je l’ai conscientisé, je l’ai accepté. Comment je la rends plus belle ? »
La résilience est la force sur laquelle vous vous appuyez pour que vos expériences deviennent quelque chose de meilleur ou de différent. Marcher vers la résilience, c’est marcher sur un chemin, vers un but. C’est l’idée de ricocher après pour transformer cette expérience en force.
Oser briller au monde
Une fois le chemin trouvé, il n’est pas toujours évident de sortir de ses croyances limitantes, pour continuer à s’épanouir sur cette voie et oser briller au monde.
« C’est dingue les limites que l’on se met, comment on se bride soi-même ! »
En réfléchissant un petit peu, vous vous rendez compte que ce n’est pas vraiment vous, mais ce que vous avez toujours entendu dire de vous. Depuis votre enfance, les étiquettes vous collent à la peau, comme ces idées toutes faites que vous pouvez avoir sur la réussite, sur l’argent, etc. Mais également les peurs qui se cachent derrière : la peur du manque, la peur d’être juger, etc. Alors autorisez-vous à réussir ! Autorisez-vous à briller ! Cela fait aussi partie de vous. Personne ne va vous donner l’autorisation de réussir, d’être libre et épanouie dans votre vie personnelle aussi bien que professionnelle. C’est à vous de la prendre.
S’autoriser à oser
En coaching, « oser » est un terme qui a son importance. C’est un mot percutant qui peut faire tilt : « Osez être vous » , « Osez y aller » , etc. Cela vous aide à sortir de toutes ces croyances limitantes, de ces schémas de pensées négatives que vous vous infligez et qui vous brident, comme :
- vous ne vous sentez pas légitime
- vous êtes trop nulle (Merci au syndrome de l’imposteur ! ),
- vous avez peur (la peur du manque, de réussir, d’être jugée, rejetée, etc.),
- etc.
Mais d’où viennent ces croyances limitantes ? Souvent, elles viennent de l’enfance ou de traumatismes. C’est dommage que cette histoire-là bride encore l’adulte que vous êtes aujourd’hui. Même s’il est important de penser avec le passé pour pouvoir vous libérer dans votre présent, il ne doit pas vous limiter pour autant. Vous avez vécu ce moment douloureux, il fait partie de votre histoire. Mais aujourd’hui, vous pouvez dépasser ces résistances en osant. Forcément, cela renvoie à une certaine vulnérabilité, à certaines peurs. Derrière la peur, se cachent souvent du désir et de l’envie. Il y a de belles choses à découvrir lorsque vous sortez de votre zone de confort. Alors, autorisez-vous à imaginer, à rêver. Et après, osez !
La force de la résilience, une nouvelle opportunité de vie
La force de la résilience existe en tout le monde. Elle est présente même dans les moments difficiles. Lorsque vous avez l’impression de faire marche arrière, en fait, vous êtes en train de traverser des processus de résilience profonds. Ce n’est pas le but, c’est le chemin. Ainsi, il y a 10 ans, Amandine voulait seulement guérir, puis sur le chemin, elle a réalisé qu’elle voulait aider les autres à guérir. Plus vous avancez sur le chemin de la résilience, plus le but change et évolue. Penser au début de son parcours qu’elle voulait devenir sophro-analyste aurait été impossible ou prétentieux selon elle. Aujourd’hui, sa façon de penser a évolué. Le fait de voir grand rejoint l’idée d’ « Oser briller au monde » . La force de la résilience est un chemin que vous empruntez et qui vous mène vers de nouvelles contrées à explorer, de nouveaux projets ou d’anciens rêves d’enfant qui vous font toujours palpiter.
Autorisez-vous à rêver. Souvent, les coachées ignorent leur idéal de vie. Elles ne s’autorisent pas réellement à imaginer. C’est dommage de ne pas oser rêver sereinement par peur d’être déçue. Si vous ne tentez pas, vous ne saurez jamais. Il vaut mieux essayer et se tromper que ne jamais savoir. Vous passez ainsi à côté de belles opportunités de vie. Vous pouvez toujours tirer profit d’une expérience ratée, et rebondir ailleurs. La force de la résilience, c’est de donner du sens à votre histoire, à votre vécu, à votre souffrance. Elle n’a pas été vécue pour rien. Vous avez souffert, vous vous êtes relevée, c’est déjà merveilleux. Mais si, en plus, vous pouvez en tirer parti comme aider les autres, créer quelque chose, inspirer les gens, vous lancer dans un nouveau travail, etc.
La résilience est un terme que vous connaissiez sans doute peu avant de lire ces lignes. Ce travail en profondeur vient finaliser toute la démarche de développement personnel. La force de la résilience est un parcours de vie. À vous de prendre conscience qu’elle est là et que tout est possible. Ne restez pas dans vos croyances limitantes, ces schémas de pensées négatives que vous avez tendance à reproduire inconsciemment. Tout est possible, alors osez ! Vivre vos émotions permet de sortir de l’apathie et de vous mettre en mouvement. Si vous n’êtes pas actrice de votre vie, vous deviendrez inquiète et vous fanerez. La crise de la quarantaine, notamment, peut être très dure à vivre. Prenez du temps pour vous. Apprenez à vous connaître, vous êtes une belle personne. N’ayez pas peur de plonger dans vos histoires. Effectivement, cela peut être inconfortable, mais c’est pour sublimer cette souffrance, et transformer cette expérience en force. Cela en vaut vraiment le coup pour enfin être plus libre.
« On peut toujours apprendre des autres, de nous et c’est ce qui fait la beauté de l’être humain. La meilleure version de vous-même, vous l’êtes chaque jour. »
C’est un beau message qu’Amandine vient de délivrer. Je suis sûre qu’elle en a fait réfléchir plus d’unes. Vous pouvez la retrouver sur son compte Instagram @curieuseconscience et sur son site. N’hésitez pas à revenir vers elle si vous avez des questions.
Pendant les vacances, si l’idée de lire son livre « Résilience : guide d’exploration » vous tente, lancez-vous. Nous pourrons en discuter ensemble. Vous pouvez également regarder la sélection de lectures que je vous propose pour cet été.